Le chien peut être un "médiateur" au service de la thérapie. Il n’est pas, comme le prétendent certains, un thérapeute lui-même.
Nous pouvons également le nommer "catalyseur" car nul ne reste neutre face à un chien. Il mobilise chez l’humain des sentiments d’amour, de haine, de dégoût, de peur... et parfois un mélange de tout cela à la fois.
Le chien peut faire émerger de la nouveauté dans le cabinet, sous réserve qu’il y soit pour le bénéfice du patient et non pour tenir compagnie à son maître.
Cela n’est pas si évident que vous le pensez.
N.B. : Ce que vous lisez sur cette page n’est qu’une ébauche de ce que nous allons étudier dans ce cours. Le sujet y sera évidemment exploré de manière beaucoup plus approfondie et plus large que dans cette brève introduction.